gogol. 2

François Bon s’interroge sur BigDaddy et met fort opportunément un visage (ainsi que d’autres visages moroses dans une réunion qui a l’air aussi chiante que les notres) sur le mythique et monstrueux Google qui hante le jardin de la connaissance. À lire aussi, sur l’ogre : « Faut-il une grande cuillère pour signer avec Google ? » de Michel Valensi.

Moi ce qui me fait peur dans Google c’est surtout l’usage que nous les français et aussi les autres habitants de le planète Terre en faisons : le profil type de l’internaute que nous renvoie le miroir de Google laisse songeur.