ricochets d’intime
ce ne sera pas moi, ça ne fait rien, je dirai que c’est moi, ce sera peut-être moi.
Samuel Beckett (L’innommable, Minuit, p. 103)
Invités le 30 novembre dernier à la Bnf (par mon intermédiaire, mais (ceci n’étant pas un journal intime) je n’en ferai (presque) pas état) pour une journée d’étude sur le journal intime, Patrick Rebollar, Laure Limongi et Philippe De Jonckheere en évoquent les débats dans leurs blogs respectifs. Patrick Rebollar et Laure Limongi proposent également en ligne leurs notes préparatoires, qui sont passionnantes. De Patrick Rebollar, je me permet de porter également au dossier cet intéressant billet ; j’ajouterai aussi ce qu’écrivait par rebond sur l’intime Jean-Claude Bourdais dans son Journal de Thiron-Gardais (Quoique, à la limite…) les 9 septembre et 11 novembre derniers.
post scriptum du 4 décembre : les débats se poursuivent ce jour dans le Journal LittéRéticulaire.