nuit grave
Par cgat le dimanche 13 avril 2008, 02:31 - blogs et internet - Lien permanent
::: définitivement non, ce ne serait pas merveilleux si l’on interdisait aux blogueurs d’écrire de 20h à l'aube ... mais comme il est déjà 2h31, je fais court, car « Bloguer nuit gravement à la santé » d'après vnunet, relayé avec humour par Miss Tics
::: il y en a aussi qui commentent et débatent, la nuit : « La théorie des forums »
::: et parce que mieux vaut en rire, l'OU LI PO PU (OUtil de LIsibilité des POlitiques PUbliques) explique la RGPP
double post-scriptum :
::: lire aussi : Guillemette Faure, « Le stress mortel des blogueurs de fond » (Rue89)
::: « La théorie des forums » est un dessin de Laurent Percelay
Commentaires
ai proposé "réelle générosité pour possédants"
chercher quand je serai mieux réveillée
c'est donc pour ça que le dimanche matin entre 8h et 10h, c'est tout calme…
il est vraiment bien ce blog. design sobre,
pas racoleur. Tout en profondeur et dans la nuance.
franchement, bravo.
IL faudrait d'urgence que les fabricants d'ordinateurs installent sur leurs machines le dispositif d'origine anglaise "Mosquito" (baptisé "Beethoven" en France, on n'a pas osé utiliser le nom de Messiaen...) qui éloignerait les jeunes - et aussi les moins jeunes, pourquoi cette ségrégation ? - de l'horrible tentation internautique, source de perversions innommables et d'échanges incontrôlés, en principe.
Bloguer tue ! Conduire tue ! Buver tue ! Lire tue ("Suicide, mode d'emploi, Cioran, etc.) ! Et vivre tue !
Longue vie à des gouvernements à tue et à toi ! Longue vie aux camarades Brown et Sarko !
pas mal, brigetoun !
j'avais pensé à :
Régime Garantissant la Perte de Poids
Royale Gidouille Pathologiquement Ploutocrate
Radicale Galère Pernicieusement Paranoïaque
Rusée Guillotine de Paupérisation Publique
10h c'est encore très tôt pour moi le dimanche, ficelle!
Loïc, le votre, que je découvre, est très bien aussi (même si je ne suis pas du tout d'accord avec vous concernant le livre de Véronique Ovaldé, terminé hier)
vivre nuit grave!, en effet, Dominique
et concernant les dispositifs d'éloignement des vieux, Agnès Maillard à de bonnes idées :
http://blog.monolecte.fr/post/2008/...
Le Septuor de Beethoven, autrefois célèbre, n'est plus souvent programmé pour lui-même. Il réapparaît de temps en temps au concert quand des ensembles alliant cordes et vents veulent jouer du classique. Oubli injustifié?
En 1799, Beethoven approche de la trentaine. Il entend toujours bien et cultive de grandes ambitions artistiques. Il vit une profonde amitié avec Karl Amenda, d'une année son cadet, bon violoniste, protestant et futur pasteur. Il se remet d'une déception amoureuse: son amie d'enfance, la contralto Maria-Magdalena Willmann, l'a éconduit, le trouvant trop laid et à moitié fou, lui préférant le chanteur Galvani. Il fait, au printemps, la connaissance de la famille Brunsvick et donne des leçons à Thérèse, Franz et Joséphine, alors respectivement âgés de 24, 22 et 20 ans, qui compteront beaucoup dans sa vie. Pianiste reconnu, il semble pourtant ne donner aucun concert public et se consacre à la gestation de grandes oeuvres: les six premiers Quatuors en op. 18, la 1ere Symphonie op. 21 et... le Septuor op. 20 en Mib Majeur pour clarinette, basson, cor, violon, alto, violoncelle et contrebasse.