« Mourir m’enrhume, c’est amusant. Le chaud et froid sans doute. Je sens dans mes membres engourdis l’impatience de la vermine puis, moins précises, tâtonnées, les gammes d’un musicien aztèque. »

::: relire le bel incipit d’un premier roman d’il y a 21 ans (déjà), pour le plaisir d'être ce « lecteur thaumaturge qui ignore sans doute l’étendue de son pouvoir » et « relève d’entre les morts le jeune auteur de Mourir m’enrhume ».

::: puis chicorer sur l’improbable fusion entre Simon et Robbe-Grillet, se réjouir de savoir qu’il est encore des éditrices qui se soucient des virgules folâtres et être fière d’être un « effrayant pourvoyeur de piles à lire ».