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La nouvelle de la mort, le 31 décembre dernier, de Donald Westlake, né le 12 juillet 1933 à Brooklyn, m'attriste.

Bien sûr j'ai ri en lisant les aventures de l’inénarrable Dortmunder, apprécié ses polars sociaux façon Couperet, mais m’avait surtout touchée un de ses romans les plus atypiques, Trop humains (1992), dans lequel l’ange Ananayel, chargé par Dieu d’organiser la fin du monde, s’attache à ces humains si ratés mais si touchants qu'il avait pour mission d'aider à s'entretuer.

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