À propos de la critique littéraire, on peut, le plus souvent, la traiter à la Lichtenberg :
« Quand un livre et une tête se cognent, et que cela rend un son creux, ce n’est pas toujours la faute du livre. »
Voir mon dossier de presse, d’une fiévreuse éloquence.

Philippe Sollers, Un vrai roman : Mémoires (Plon, 2007, p. 222)

Indépendamment de la défense et illustration de Philippe Sollers, c'est assez juste, non ?