La ligne de mots est une fibre optique, aussi souple qu’un câble ; elle éclaire le chemin juste devant son extrémité fragile. Elle est ta sonde, délicate comme un ver. (p. 15)

La ligne de mots tâtonne à la recherche des fissures du firmament. (p. 30)

Annie Dillard, En vivant, en écrivant (1989, Christian Bourgois, 1996, traduit par Brice Matthieussent)