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zut, j'ai raté la journée de la glande !.. bon : il n'est jamais trop tard pour rien faire
... et poursuivre avec quelques bribes mollement recopiées de blog en blog :

« 23 octobre : Le temps qui passe. Est-ce que ça va trop vite ? » (Emmanuel Darley)

« Je ne possède pas le permis de conduire, ce qui, reconnaissons-le, est très handicapant. Ainsi le samedi, tandis qu’ils sont tous occupés à caresser leur voiture avec un chiffon, je reste bêtement cloué dans mon fauteuil avec un bon livre. » (Éric Chevilllard)

« Quand je fais du japonais, j'ai souvent l'impression de vouloir vider un océan avec un dé à coudre. Cependant, depuis quelques temps, je comprends qu'en japonais comme en tout, ce n'est pas vider l'océan qui importe, c'est soigner son mouvement de dé à coudre. » (Berlol)

« Alors évidemment, vous aurez toujours un pauvre tue-la-joie de RMIste pour venir vous les briser avec de hideuses jérémiades, genre, ouiiiii, mais tu comprends, c'est vrai que 610 euros, c'est pas cher du tout, ça met de la démocratie dans la godasse, mais bon, tu comprends, ça fait quand même une fois et demie mon revenu mensuel.
Et alors, pauvre mec ?
C'est de ma faute à moi, si tu te donnes pas les moyens de t'enticher ?
C'est de ma faute à moi, si tu refuses, obstinément, de travailler plus ? » (Sébastien Fontenelle)

« Il peut s’inquiéter de ne pas être capable d’utiliser ces outils, se croire un idiot s’il n’a jamais osé uploader une vidéo dans YouTube, suspecter sa propre attractivité si son nombre de friends reste faible dans les réseaux sociaux, se demander pourquoi son skyblog n’attire pas d’autres visiteurs que les spammeurs. Pour quelques individus qui, très tôt, se constituent un public et s’emparent avec aisance des commodités du Web 2.0, combien se recroquevillent, se découragent, se suspectent eux-même, culpabilisent de n’être pas créatifs, de n’avoir aucun roman à publier dans lulu.com, de prendre des photos qui ne valent même pas la peine d’être uploadées dans Flickr ? » (Virginie Clayssen)

« La seule solution : débrancher l'école, la déconnecter. Internet ça ne sert à rien. » (Alain Finkielkraut)