En écoutant les Mardis littéraires consacrés aux « Vrais-faux romanciers », dont Berlol transcrit ici des extraits, j’ai envie de jouer moi aussi avec l’utilisation paratextuelle de l’hypertexte que fait Lutz Bassmann en remarquant que dans la constellation des liens consacrés à Lutz Bassmann, l’intitulé « http://blog.lignesdefuite.fr/post/2008/04/22/ce-sera-inhabituel-et-magnifique » renvoie non pas vers mon billet du 22 avril mais vers un autre billet chronologiquement antérieur.

Simple coquille où volonté délibérée d’égarer (c'est ainsi que, de lien en lien, on peut se retrouver à la fin de l'internet !), de la part de l’hétéronyme anonyme qu’est le webmestre du site ... me demandé-je depuis que je m'en suis aperçue ?