Lorsque je me suis enfin décidée, il y a près d’un mois, à apporter ma contribution au projet 807 que Franck Garot expose ici, la liste d’attente était déjà très longue !

L’aphorisme que j’ai alors proposé :

J'ai tracé 807 lignes de fuite, puis je me suis arrêtée ; elles étaient tout emmêlées...

porte le numéro 135 et il est paru ce matin à 8h07, une heure de publication bien improbable pour qui me connaît un peu ; je me demande bien dans quelle langue est le titre, très joli : « Százharmincöt » ...

Plutôt que d’attendre 3 mois de plus pour arriver au triptyque de Chevillard (qui justement s'alarme aujourd'hui du peu de temps qui reste !), j’en ajoute deux ici-même :

J’ai lu les 807 premières pages de la Recherche, puis je me suis arrêtée ; assez de temps perdu.

J’ai écrit les 807 premiers mots du grand roman que tout le monde attend, puis je me suis arrêtée : à quoi bon un roman que tout le monde attend.