Lettre au Monde (1985)
Claude Simon, Lettre inédite au Monde, publiée le 19 octobre 1985. [ En 1971, au moment de la parution des Corps conducteurs, Claude Simon nous avait adressé une lettre dont nous publions un extrait. Il s’explique sur le métier de…
La sensation, c’est primordial (1997)
Simon (Claude), “ La sensation, c’est primordial ”, Entretien avec Philippe Sollers, Le Monde, 19 septembre 1997. Philippe Sollers : Ce qui m’a toujours frappé, dans vos livres, c’est à quel point l’Histoire apparaît sous une forme concrète, comme le résultat sans…
Roman, description et action (1978)
Claude Simon. “ Roman, description et action ”, Studi di Letteratura Francese, VIII, vol. 170, 1982, p. 12-27 [conférence prononcée en 1978, déjà publiée dans The Feeling for nature and the landscape of man [Proceedings of the 45th Nobel Symposium]. Textes réunis…
Entretien Scherzo (1998)
Claude Simon. Entretien avec Christian Michel et Richard Robert, Scherzo (Presses Universitaires de France), 3, avril-juin 1998, p.5-11. La définition minimale du genre romanesque implique, selon vous, l’existence d’une “ action ”. Quels liens unissent, dans vos romans, narration et description ?…
L’atelier de l’artiste (1989)
Jean-Claude Lebrun, “ Visite à Claude Simon. L’atelier de l’artiste ”, Révolution, 29 septembre 1989. Le propre du très grand écrivain, c’est de savoir garder intacte à travers le temps sa capacité d’étonner et de ravir ses lecteurs, de les faire encore…
Je me suis trouvé dans l’œil du cyclone (1997)
Claude Simon, « Je me suis trouvé dans l’œil du cyclone », Entretien avec Antoine de Gaudemar, Libération, 18 septembre 1997. Antoine de Gaudemar : Dès la première page, on est frappé par la forme du livre : la page est typographiquement…
Entretien M. Chapsal (1960)
Claude Simon, Entretien avec Madeleine Chapsal, L’Express, 10 nov. 1960. Repris dans Les écrivains en personne, 1973, p. 285-291. Comment écrivez-vous ? « La Route des Flandres » est une œuvre si complexe qu’on se demande un peu comment elle…
sur le fond de ténèbres
Un soir il s’assit à sa table devant une feuille de papier blanc. C’était le printemps maintenant. La fenêtre de la chambre était ouverte sur la nuit tiède. L’une des branches du grand acacia qui poussait dans le jardin…