lignes de fuite

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blogs et internet

Fil des billets

mercredi 30 janvier 2008

moisson d'images

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::: pour rebondir sur le précédent post : des liens offerts par Hubert Guillaud sur les couvertures de livres (même s'il prédit leur fin)

::: les 118 cases du tableau périodique des éléments illustrées

::: lorsqu'on n'est pas allé au Festival d'Angoulême, les 24 heures de la bd offrent une large moisson de planches qui souvent s'ouvrent sur des sites persos : à explorer ...

::: pas étonnant que Boulet soit plein de bugs !

mardi 29 janvier 2008

couvertures

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::: bonne nouvelle : les livres de publie.net ont désormais des couvertures

::: réalisées par Philippe De Jonckheere, elles sont belles et graphiques

::: encore un ricochet concernant la couverture du NouvelObs : une excellente analyse d’André Gunthert

::: et pour relever le niveau concernant Beauvoir, on peut maintenant écouter en ligne le Colloque du centenaire

jeudi 17 janvier 2008

le cerveau de beauvoir

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Dans Ce soir ou jamais, Frédéric Taddéï réunissait tout à l'heure un beau plateau féministe (Caroline Fourest plus efficace que jamais !) pour parler de l’héritage de Simone de Beauvoir.

À cette occasion, une petite brassée de liens où l’on parle aussi du cerveau de Simone de Beauvoir :

Société internationale Simone de Beauvoir
Autour de Simone de Beauvoir
Centenaire de Simone de Beauvoir - Éloges et critiques (Sisyphe)
Simone de Beauvoir, Mémorialiste
Dossier Centenaire (Arte)
Dossier « être une femme selon Beauvoir » (INA)

et pour ceux qui auraient envie d'autres clics : « Par où t’es passé ? »

mardi 15 janvier 2008

pas bling-bling

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Ayant obtenu le meilleur job, la plus belle fille, la plus grosse montre, l’homme s’assit au sommet de la montagne qu’il avait gravie. Il leva les yeux au ciel. Décrocher la queue de Dieu comme il avait décroché la queue du Mickey ? Pour la première fois de sa vie, il chassa une idée présomptueuse. Mais alors, que faire désormais ? Il se mit debout, embrassa la vallée d’un regard et, relevant le col de son pardessus, commença à dégringoler dans les sondages.

Éric Chevillard, L’autofictif, 103 (les liens sont ajoutés par moi)

D’un hérisson à l’autre, le roman le plus acheté et offert en France en 2007 (après Harry Potter, tout de même) a été L’élégance du hérisson de Muriel Barbery, qui comme le souligne l'édito de Livres Hebdo, n’est « pas bling-bling » du tout !

samedi 12 janvier 2008

game over

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Je ne sais pas vous, mais le Tetris reste un de mes gaspille-temps préférés :
ce Tetris humain m'amuse donc beaucoup !

jeudi 10 janvier 2008

ce petit cœur brisé ridicule

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À propos de Facebook encore, j’ai reçu ce lien vers un blog surprenant dont l'auteur publie, par paire, les photos de couples déclarés sur Facebook :

Toutes les photos sont issues de profils publics du réseau France de Facebook. Les couples choisis sur ce blog annoncent sur leur page qu'ils sont « in a relationship with » leur partenaire.
Si vous regrettez votre exhibitionnisme, ne souhaitez pas vivre dans un monde orwellien et exigez de ne pas apparaître sur cette page, laissez un commentaire ou envoyez un mail.
In a relationship

À rapprocher de l'anecdote racontée par Christine Rosen :

Je connais une jeune femme – séduisante, intelligente, distinguée – qui, comme beaucoup d’autres à vingt ans, s’est inscrite sur Facebook comme étudiante à l’ouverture du site. Quand elle s’est fiancée, elle et son compagnon ont mis à jour leur profil pour annoncer la nouvelle et leurs amis ont déposé des messages de félicitation sur leurs « Murs ». Mais par la suite ils ont rompu leurs fiançailles. Et une drôle de chose arriva. Bien qu’elle ait déjà prévenu quelques amis et parents, son ex décida d’officialiser la nouvelle d’une façon très contemporaine : il changea son statut sur son profil Facebook de « Fiancé » à « Célibataire ». Facebook généra immédiatement un flux d’actualité visible par tous les membres de leurs réseaux annonçant que « Mr.X et Mlle.Y ne sont plus en couple », accompagné d’une petite icône de cœur brisé. Quand j’ai demandé à la jeune fille comment elle avait vécu cet évènement, elle avoua que bien qu’elle se soit faite à l’idée que ses proches finissent par apprendre la nouvelle, elle avait été assez déconcertée par le fait que tout le monde soit instantanément au courant ; et comme le message venait de Facebook et non d’un échange en face-à-face à son initiative, la rupture était coupée de son contexte – dont il ne restait qu’une utilitaire mention de la date et ce petit cœur brisé ridicule.
Christine Rosen, « Amitiés virtuelles et nouveau narcissisme »

la suite : Francis Pisani, « Guerre des données/2 - Facebook contre Plaxo »

mercredi 9 janvier 2008

le marketing de soi-même

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Pendant des siècles, les riches et les puissants ont illustré leur existence et leur rang à travers des portraits peints. Marque de richesse et gage d’immortalité, les portraits offrent d’intrigantes allusions à la vie quotidienne de leurs sujets – professions, ambitions, attitudes, et, surtout, statut social. De tels portraits, comme le soutient l’historien de l’art allemand Hans Belting, peuvent être compris comme de « l’anthropologie peinte », susceptible de nous apprendre beaucoup, intentionnellement ou non, de la culture dans laquelle ils ont été créés. Les autoportraits peuvent être particulièrement instructifs. En montrant l’artiste à la fois comme il se voit sincèrement et comme il aimerait être vu, ils peuvent simultanément exposer et masquer, éclairer et distordre. Ils sont une opportunité d’expression autant que de recherche de soi. Ils peuvent déployer l’égotisme comme la modestie, l’auto-promotion comme l’auto-dérision.

Aujourd’hui, nos autoportraits sont démocratiques et digitaux ; ils sont faits de pixels plutôt que de pigments. Sur des sites de réseaux sociaux comme MySpace et Facebook, nos autoportraits modernes s’agrémentent de musiques d’ambiance, de photos soigneusement retouchées, de flux de pensées en continu, et de listes de nos hobbies et de nos amis. Ils sont interactifs, invitant les visiteurs non seulement à regarder, mais aussi à contribuer à cette vie représentée en ligne. Nous les créons pour trouver l’amitié, l’amour, et cette ambiguïté moderne nommée « contact ». À l’instar des peintres reprenant sans cesse leur œuvre, nous modifions, actualisons et peaufinons nos autoportraits en ligne ; mais ces objets digitaux sont bien plus éphémères que les huiles sur toile. Statistiques essentielles, chair à vif entraperçue, inventaire de musiciens et de poèmes favoris réclament notre attention – et c’est cet éternel et humain désir d’attention qui émerge, thème dominant de ces vastes galeries virtuelles.

Bien que les sites de réseaux sociaux n’en soient encore qu’à leurs débuts, on constate leur impact culturel : dans nos langues (les amis « s’ajoutent » désormais), chez nos politiques (il est maintenant de rigueur pour un candidat de cataloguer ses vertus sur MySpace), sur les campus universitaires (où ne pas être sur Facebook est un handicap social). Mais nous commençons à peine à saisir les conséquences que nos pratiques sur ces sites ont sur nos relations, et sur nos conceptions de la vie privée, de l’authenticité, de la communauté, de l’identité. Comme devant toute avancée technologique, nous devons prendre en considération le type de comportement social que les réseaux sociaux sur internet encouragent. Cette technologie et son incessante injonction à la collection (d’amis et de prestige), à la performance (par le « marketing » de soi-même) ne va-t-elle pas d’une certaine façon à l’encontre de ce qu’elle nous promet : un sentiment plus solide d’identité et d’appartenance ? L’oracle de Delphes nous disait « connais-toi toi-même ». Aujourd’hui, dans le monde des réseaux en ligne, son conseil pourrait être « fais-toi connaître toi-même ».

Ainsi commence un très intéressant article de Christine Rosen, « Amitiés virtuelles et nouveau narcissisme », publié par NonFiction

voir aussi le reste du dossier, et notamment « Jeu de société. Va-t-on se lasser de Facebook ? » de Barthélémy Menayas

et, aujourd'hui, un billet de Francis Pisani sur le scraping des données personnelles : « Guerre des données/1 - Facebook contre Plaxo »

vendredi 4 janvier 2008

tout à fait fascinante

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Ma vie est tout à fait fascinante de Pénélope Jolicoeur, de son vrai nom Pénélope Bagieu : après le blog, le livre.

jeudi 3 janvier 2008

la mer face à ma fenêtre

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Un souvenir perso : la mer face à ma fenêtre le 1er janvier 2008
(je suis rentrée à Paris depuis, hélas)
et un petit tour de blogs, ce soir, pour voir comment les autres se tirent de la figure imposée des vœux : l’année 2008 sera, c'est dit
::: maritime
::: italienne
::: érudite
::: promotionnelle
::: personnalisée
::: hypothétique
::: goûteuse
::: bananée
::: sans politique (?)
::: harakirienne
::: malacologue
::: astrologiquement chinoise
::: graphiquement japonaise
::: pavesienne
::: pantagrueline
::: sollersienne
::: etc.

mardi 18 décembre 2007

storytelling


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« Et alors ? Pourquoi ces airs surpris ? Quoi de plus banal pourtant qu’un manipulateur tenant un mannequin par le bras dans une parade de Mickey ? »
Éric Chevillard, L'autofictif

::: une raison de plus pour ne jamais mettre les pieds à DisneyLand :
nous avons passé l’âge qu’on nous raconte des histoires de mickeys et de minnies !

::: autre triste nouvelle : Alain Korkos annonce le dernier billet de la Boîte à images !

::: et Isabelle Aveline jette une bouteille à la mer

::: tandis que François Bon regrette que les nouveaux venus dans l'internet littéraire ne respectent pas les anciens ... voilà qui est un peu naïf : ils sont, comme super-mickey, « décomplexés », et l’ancienneté est aujourd'hui moins que jamais une qualité !

::: quant à moi, je ne m’explique absolument pas une hausse soudaine de la fréquentation de mes lignes de fuite ces derniers jours, alors que je me contentais de poster paresseusement quelques citations de Perros pendant un week-end consacré au devoir familial : m'aurait-on citée en un lieu de forte audience ? prêté une relation avec super-mickey ? si quelqu’un peut m’indiquer une piste possible, je l’en remercie chaleureusement (aucune récompense n’est prévue, afin de ne pas favoriser la délation, très à la mode ces temps-ci).

jeudi 13 décembre 2007

de clic en clic

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::: une belle analyse de Tumulte de François Bon par Benjamin Renaud, qui propose en ligne l'ensemble du colloque « Genres en mouvement » dans le cadre duquel il a prononcé cette communication.

::: cherchant la page sur Tumulte chez François Bon, je tombe sur de magnifiques photographies de la BnF, hier soir !

::: envie de citer aussi les images collectées par David Calvo : ici ... ... ou

::: parcourir les critiques fascinantes de minimalisme sur le blog mis par la Bpi à la disposition du Festival du premier roman

::: si vous aimez les winners, le web qui rapporte, l'anglais et Loïc Le Meur, le Web 3 est fait pour vous !

::: et si vous en avez marre de vous faire des amis sur FesseBouc, essayez Hatebook ...

samedi 8 décembre 2007

des visages là où il n’y en a pas

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Me fascinent certaines séries photographiques découvertes sur la toile, en particulier celles qui mettent en scène des visages, accompagnés d'objets standardisés divers : petit déjeuner, vètements, chaussures ... par exemple :

::: Breakfast, du photographe californien Jon Huck

::: Exactitudes , du photographe Ari Versluis et de la styliste Ellie Uyttenbroek, à Rotterdam

::: The Shoe Project, de la photographe norvégienne Ellen Ugelstad

::: jusqu'à ce détournement troublant consistant à chercher des visages là où il n’y en a pas
( même Berlol s'y met, avec une épluchure de clémentine très dubuffetienne ... )

post-scriptum : Berlol récidive avec un très hiératique et énigmatique lampadaire tokyoïte

mercredi 28 novembre 2007

quelques sites addictifs


::: the Global network of dreams (GNOD) propose une carte de la littérature :
on entre un nom d’auteur et (on ne sait trop comment) se déploie un nuage d’auteurs (plus ou moins) proches
on reclique sur un nom et on redéploie, on entre un autre nom, etc. etc.

::: pour remplacer Martine, faites des couvertures de Pieds Nickelés !

::: et un blog pour trouver plein d’autres générateurs de trucs inutiles, par exemple un superbe logo très web 2.0 comme ça :

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mardi 20 novembre 2007

des ronds dans l'eau

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::: ce billet pour inciter les fonctionnaires écrivains ou blogueurs encore indécis à faire grève aujourd'hui

::: et celui-ci pour les inviter à remettre au lendemain ce qu'ils auraient pu faire la veille

::: plutôt faire des ronds dans l'eau de la blogosphère (source : serial mapper)

lundi 19 novembre 2007

martine choisit les lignes de fuite

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Puisque Casterman a demandé la fermeture du Martine Cover Generator --
décision stupide s'il en est !

T'façon on en a tous recopié plein sur nos disques dur ...
sinon il suffit de demander à google ...
et d'ailleurs on sait les faire nous-mêmes avec paint shop pro :

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ou

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Encore quelques détournements qui m'avaient particulièrement plu :

martine_test_adn2.jpg

MartineTravaille.jpg

ces gens mystérieux

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J'ai depuis longtemps envie de signaler l'excellent blog dessiné de BouletCorp : sa savoureuse planche énervée sur les questions invariablement posées par les journalistes et autres intervieweurs aux blogueurs en est l'occasion ; voir aussi il y a quelques semaines ses portraits de commentateurs et de blogueurs ... et tout le reste !

mardi 13 novembre 2007

pseudo génétique

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Ayant signé hier un commentaire de mon pseudo habituel, « cgat », mon interlocuteur m’a à ma grande surprise répondu que ce pseudo évoquait pour lui « ces gars, comme dans la marine » ! à chacun ses fantasmes et les pompons ne font pas partie des miens, mais cela m’inquiète un peu : de grâce, commentateurs, commentatrices, dites-moi à quoi vous fait penser mon pseudo ?

Sans même attendre vos réponses (mais en comptant tout de même sur elles !) je vous inflige l’explication (un peu tortueuse j'en conviens) qui est la mienne.

Premier signifié de ce signifiant particulier : CG sont mes initiales, et AT vaut pour @
Deuxième signifié (puisque comme dirait ce cher Roland Barthes « Le Signe est une fracture qui ne s’ouvre jamais que sur le visage d’un autre signe ») : C G A et T sont les lettres qui désignent les composants de la molécule d’ADN (vous savez, comme dans « Gattaca, bienvenue à »).

L’ADN, ou acide désoxyribonucléique, est une macromolécule formée par deux chaînes qui s'enroulent l'une autour de l'autre pour former la fameuse double hélice, chaînes dans la composition desquelles entrent notamment quatre base azotées, l'adénine (A), la thymine (T), la cytosine (C) et la guanine (G), qui sont en quelque sorte les « lettres » dont les différentes combinaisons successives composent le code ou « livre » génétique.

Il me plaît, il m'a toujours plu depuis que je l'ai appris, que mes initiales fassent partie de ces lettres singulières … à priori, donc, rien à voir avec les pompons ni les gars de la marine.

vendredi 9 novembre 2007

trajectoires poétiques

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Hypnotisante, la poésie des trajets lumineux des avions dans le ciel des États-Unis, par Aaron Koblin, découverte grâce à David Calvo.

mercredi 24 octobre 2007

soigner son mouvement de dé à coudre

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zut, j'ai raté la journée de la glande !.. bon : il n'est jamais trop tard pour rien faire
... et poursuivre avec quelques bribes mollement recopiées de blog en blog :

« 23 octobre : Le temps qui passe. Est-ce que ça va trop vite ? » (Emmanuel Darley)

« Je ne possède pas le permis de conduire, ce qui, reconnaissons-le, est très handicapant. Ainsi le samedi, tandis qu’ils sont tous occupés à caresser leur voiture avec un chiffon, je reste bêtement cloué dans mon fauteuil avec un bon livre. » (Éric Chevilllard)

« Quand je fais du japonais, j'ai souvent l'impression de vouloir vider un océan avec un dé à coudre. Cependant, depuis quelques temps, je comprends qu'en japonais comme en tout, ce n'est pas vider l'océan qui importe, c'est soigner son mouvement de dé à coudre. » (Berlol)

« Alors évidemment, vous aurez toujours un pauvre tue-la-joie de RMIste pour venir vous les briser avec de hideuses jérémiades, genre, ouiiiii, mais tu comprends, c'est vrai que 610 euros, c'est pas cher du tout, ça met de la démocratie dans la godasse, mais bon, tu comprends, ça fait quand même une fois et demie mon revenu mensuel.
Et alors, pauvre mec ?
C'est de ma faute à moi, si tu te donnes pas les moyens de t'enticher ?
C'est de ma faute à moi, si tu refuses, obstinément, de travailler plus ? » (Sébastien Fontenelle)

« Il peut s’inquiéter de ne pas être capable d’utiliser ces outils, se croire un idiot s’il n’a jamais osé uploader une vidéo dans YouTube, suspecter sa propre attractivité si son nombre de friends reste faible dans les réseaux sociaux, se demander pourquoi son skyblog n’attire pas d’autres visiteurs que les spammeurs. Pour quelques individus qui, très tôt, se constituent un public et s’emparent avec aisance des commodités du Web 2.0, combien se recroquevillent, se découragent, se suspectent eux-même, culpabilisent de n’être pas créatifs, de n’avoir aucun roman à publier dans lulu.com, de prendre des photos qui ne valent même pas la peine d’être uploadées dans Flickr ? » (Virginie Clayssen)

« La seule solution : débrancher l'école, la déconnecter. Internet ça ne sert à rien. » (Alain Finkielkraut)

mardi 16 octobre 2007

émotions variées

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::: surprise : ecce homo !

::: intérêt : Le Monde publie de larges extraits de la Leçon inaugurale de Roger Chartier au Collège de France

::: découverte : un nouveau blog d’éditeur : Lettres ouvertes. Les divagations de Raphaël Sorin

::: applaudissements : « je hais les pdf » clame Francis Pisani : moi aussi, tout pareil, et pour les mêmes raisons !

::: tristesse : par le blog de la Quinzaine littéraire, j'apprends le suicide il y a quelques semaines déjà d’Anne Thébaud, née en 1966, critique littéraire et auteur de Reliquaire (Maurice Nadeau, 2001)

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